TESLA OU L’ENERGIE "LIBRE", extrait de: http://scientox.info/Nikola-Tesla-Rencontre-d-un-genie.html

C’est aux USA que Tesla rencontra Georges Westinghouse. Cet homme, un ingénieur riche et reconnu, à la tête de la Westinghouse Electric Compagny à Pittsburg, avait entendu parlé de Tesla et de ses idées. Il lui proposa de racheter ses brevets (pour un million de dollars) et de travailler pour lui, afin de développer un système de distribution du courant alternatif, ainsi que ses dérivées : les dynamos, les transformateurs, et les moteurs alternatifs. Cette distribution en était à ses débuts et Edison soutenait largement l’utilisation du courant continu dans les villes et les industries américaines.
Tesla établit bientôt son propre laboratoire : ses expériences portaient notamment sur la puissance de la résonance électrique, et sur divers types d’éclairage. Il donna des "spectacles", pendant lesquels il allumait des lampes, sans fil, en utilisant son corps comme conducteur électrique, pour démontrer la sécurité du courant alternatif.
Une lutte féroce entre les sociétés Westinghouse et d’Edison eut lieu dans le but de convaincre les décideurs de choisir leur système électrique. Finalement, la vision de Tesla et l’argent de Westinghouse sont venus à bout de l’entêtement d’Edison lors de l’expoisition universelle de Chicago en 1893.
Toutes les installations de cette exposition étaient illuminés à partir de douzes générateurs de tension alternative de 750 kilowatts chacun. En plus des générateurs eux-mêmes, le stand Tesla- Westinghouse présentait toute une installation de transformateurs, de cables, et des convertiseurs pour démontrer au public et la sécurité du courant alternatif. Peu de gens présents se rendaient compte du moment historique qu’ils étaient en train de vivre. C’est à partir de cette exposition de Chicago, en 1893, que le courant alternatif allait devenir le mode le plus largement répandu de distribution de l’électricité

Introduction
C’est au cours de la conférence du 20 mai 1891 à l’American Institute of Electrical Enginneers de New York, que Tesla a pour la première fois parlé de l’énergie libre. Voici ce qu’il annonce : « Dans quelques générations nos machines seront propulsées par cette énergie disponible à tout endroit de l’univers.[...] Dans l’espace il y a une forme d’énergie. Est-elle statique ou cinétique ? Si elle est statique, toutes nos recherches auront été vaines. Si elle est cinétique - et nous savons qu’elle l’est - ce n’est qu’une question de temps, et l’humanité aura mis en harmonie ses techniques énergétiques avec les grands rouages de la nature ».
Tesla publie le 30 septembre 1894 un article dans lequel il expose sa théorie de la lumière, de la matière, de l’éther et de l’univers et affirme que 90 % de l’énergie des lumières électriques est gaspillée : « j’espère vivre assez longtemps pour être capable de poser une machine au milieu de cette pièce et la faire tourner par la seule énergie du milieu environnant »

Notion d’éther et d’énergie du champ du vide
Le concept d’éther a été introduit par Aristote pour désigner le cinquième élément. Ce terme englobait à l’origine tous les objets qui se trouvaient à l’extérieur de l’atmosphère terrestre. Les physiciens du Moyen-Âge postulait que l’éther est une substance qui remplit l’espace. Newton en a fait aussi référence. Plus tard, Maxwell pense qu’ « il n’y a aucun doute que les espace interplanétaires et interstellaire ne pas vides, mais remplis d’une substance qui existe en très grande quantité qui est régulière »
Des expériences ont été réalisées pour essayer de prouver l’existence de l’éther. Une expérience est restée célèbre. Si l’éther existait, il existerait des « vents d’éther » dues à la rotation de la terre, supposaient les physiciens de l’époque. Deux signaux ont été envoyés : l’un contre courant des vents d’éther, et l’autre dans la même direction. Les scientifiques attendaient un écart entre les temps mis par les deux signaux pour parcourir un même distance. L’expérience ne révéla aucune différence. De ce fait, on assista au refus du concept d’éther. Mais beaucoup de scientifiques pensent encore que le concept de l’éther n’est pas une fiction. D’ailleurs, voici la liste des scientifiques qui postulent pour l’existence de cet élément - pour ne citer que les plus connus :
- Paul Dirac (Prix Nobel, 1933)
- De Broglie (Prix Nobel, 1929)
- A. Michelson (Prix Nobel, 1907)
- A. Einstein (Prix Nobel, 1921)
- Sir Oliver Lodge
- Beaucoup d’autres Prix Nobel
De cet éther, peut être tirée de l’énergie. L’espace présent entre les atomes n’est pas vide, mais rempli d’énergie. Sa concentration est extrêmement élevée, de l’ordre de 5000 kWh par cm3 d’après certaines estimations. Elle est difficilement perceptible, à moins de la faire agir avec des champs électromagnétiques ou de la matière. Il serait impossible de manquer d’énergie car elle est omniprésente. Pour faire une analogie, on peut citer cet exemple : un homme assis au fond de la mer avec une tasse à la main se demande comment il peut remplir sa tasse d’eau. Par analogie, l’eau joue le rôle de l’énergie, et l’homme au fond de la mer, l’Humanité qui vit sur Terre. L’omniprésence de cette énergie nous fait oublier qu’elle existe et qu’elle est infinie.
Mais le concept de l’éther tend peu à peu à s’effacer dans les pensées des grands physiciens de l’époque. A l’âge de 15 ans, Albert Einstein (1879-1955) pensait comme beaucoup d’autres scientifiques, qu’il existait bel et bien un éther que l’espace n’était pas vide. C’est plus tard qu’il abandonna cette idée et qu’il réfuta ensuite pendant de longues années. C’est à ce moment là qu’il développa la théorie relativiste qui s’imposa auprès des physiciens. On ignora tout ce qu’Einstein dit plus tard au sujet de l’éther. En 1934, il revient à cette théorie en disant que l’espace ne pouvait être vide, que l’espace est un médium dynamique.

Les machines à énergie libre

Tesla est le pionner dans ce domaine. Il a été le premier à inventer une machine qui construisit une machine qui puisait son énergie dans une source infinie et inépuisable, l’énergie du point zéro, ou plus communément appelée énergie libre.

Tesla inventa une machine qui est non-seulement capable de s’auto-alimenter, mais qui tire de l’énergie de l’air environnant. Son appareil était une bobine à électroaimants, pour laquelle il avait obtenu en 1894 un brevet.

La forme de sa bobine permettait au système d’emmagasiner une quantité énorme d’énergie, en n’utilisant qu’une infime partie de cette énergie pour son propre fonctionnement. On peut la comparer à une voiture qui aurait un très grand réservoir d’essence toujours plein, et qui n’utiliserait que deux pour couvrir cent kilomètres. De nos jours, des machines à énergie libre ont été construites et fonctionnent avec comme seul carburant l’air ambiant. Bruce DePalma est le plus connu des inventeurs en énergie libre avec sa N-machine. Il utilise dans sa machine des aimants très puissants pour mettre l’énergie de l’espace au travail sur la terre, car il considère que « l’aimant est une fenêtre sur l’énergie libre de l’espace ».

Il existe aussi une autre forme d’énergie libre : l’énergie Radiante. Tesla inventa un appareil capable de capter l’énergie directement du soleil. Ce procédé n’est pas très avantageux car son rendement n’est pas très élevé.

Actualités et mise à jour
Il est rare de voir dans les magazines des articles concernant l’éther et encore moins l’énergie libre puisque 95 % des personnes n’en ont jamais entendu parler. Mais dans le Sciences et Avenir de janvier 2002, dans le dossier « les hérétiques de la science », Jean Pierre Vigier, probablement considéré comme le plus grand physicien français vivant, défend l’idée d’un éther matériel : « il y a un éther matériel, physique, qui porte les ondes et les particules, exactement comme la mer porte un navire ». Puis il continue en évoquant succinctement l’idée d’une énergie infinie : « Extraire de l’énergie du vide pour la convertir en une source inépuisable : vieux rêve ou fantasme ».
Une expérience a été faite pour essayer de mettre en évidence la force du vide : « Ils construisent une balançoire de 500 micromètres carrés suspendue à quelques centaines de nanomètres du sol. Puis il approche une sphère à moins d’un micromètre. Même sans contact, la balançoire se pencha ». En physique quantique, le vide n’est pas vraiment vide, il est en fait le siège de fluctuations qui créent des particules virtuelles engendrant sur les plaques une force de pression attractive.

Les conséquences possibles
On peut trouver évidemment trouver une multitude de domaines dans lesquels l’usage d’une énergie propre et infinie serait très bénéfique. On peut citer l’automobile, le chauffage des habitations, plus généralement dans l’industrie. Il serait aussi très profitable de l’utiliser dans le domaine spatial. « Le génie inventif de l’homme nous permettra non seulement de voyager dans l’univers à une vitesse inimaginable, sur une trajectoire fixe. Il nous permettra aussi grâce à l’énergie que l’on pourra tirer de l’espace, d’être autonome et d’y séjourner pendant de longues périodes en consommant peu d’énergie » Ces appareils à énergie infinie pourraient rendrent indépendants énergiquement la population. On peut imaginer des constructions privées d’appareils, de tailles variables : depuis le générateur dans son jardin, jusqu’à la centrale assez puissante pour éclairer toute une ville. Certains scientifiques pensent que c’est la voie à suivre pour l’avenir. D’autres, au contraire, pensent que « le fait de donner à la société une énergie abondante, bon marché et inoffensive, serait la pire des choses qui pourrait se passer sur cette planète, parce que les gens risqueraient de l’utiliser à des fins par forcément positives ». Réfléchissons un peu quant aux bienfaits que peuvent nous apporter une énergie propre et infinie : toutes les forêts, mers, lacs, océans, ne seraient plus menacés d’être à nouveau contaminés par des déchets radioactifs, par le pétrole. L’air dans les villes serait plus pur, le bruit incessant des voitures serait moindre. Les industries rejetteraient beaucoup moins de produits polluants dans l’air. Bref, on arriverait à augmenter la vitalité des gens, car ils respirerait un air pur, boirait une eau dépolluée, et se nourrisseraient d’aliments sains.

0 Comments:

Post a Comment



"Ce que tu gardes est perdu à jamais. Ce que tu donnes est à toi pour toujours.............................................Le temps mûrit toutes choses ; par le temps toutes choses viennent en évidence ; le temps est père de la vérité...............................................Je préfère une vérité nuisible à une erreur utile : la vérité guérit le mal qu'elle a pu causer...............................................La vie ressemble à un conte ; ce qui importe, ce n'est pas sa longueur, mais sa valeur...............................................Il est encore plus facile de juger de l'esprit d'un homme par ses questions que par ses réponses.............................................Le savoir que l'on ne complète pas chaque jour diminue tous les jours......Le monde est un spectacle à regarder et non un problème à résoudre............................................ "
"Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les graines d'aujourd'hui.................... Le plaisir peut s'appuyer sur l'illusion, mais le bonheur repose sur la réalité..................... Souviens-toi de te méfier..................... La conscience est la lumière de l'intelligence pour distinguer le bien du mal..................... Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir..................... La loi nous oblige à faire ce qui est dit et non ce qui est juste..................... Le savoir que l'on ne complète pas chaque jour diminue tous les jours. Le temps révèle tout : c'est un bavard qui parle sans être interrogé..................... Plus on regarde la télévision, moins on est regardant. Je ne cherche pas à comprendre pour croire, mais je crois pour comprendre..................... Une société n'est forte que lorsqu'elle met la vérité sous la grande lumière du soleil..................... L'œuvre d'art n'est pas le reflet, l'image du monde; mais elle est à l'image du monde. "